Comment concilier la pression démographique et la protection des surfaces agricoles, notamment dans des zones géographiques couvertes par des Appellations d'Origines Protégées (AOP) ?
Quand le réchauffement climatique s’additionne à l’augmentation de la densité urbaine, les îlots de chaleur urbains se multiplient et gagnent en intensité. Une méthode de traitement automatisé d’images satellitaires peut être déployée pour décrire ce phénomène.
Cartographier les zones inondées, mesurer des hauteurs d’eau ou évaluer les dégâts occasionnés, l’imagerie satellitaire présente un fort potentiel pour la gestion et la prévention des inondations.
Espaces verts ouverts, parcs et jardins publics, arbres le long des allées, potagers privés… la verdure tient une place essentielle dans nos villes. La mesurer, la qualifier, l’évaluer permet de concevoir des projets urbains durables.
Régulièrement mobilisées au plus fort des crises majeures pour fournir une cartographie rapide des dégâts, les images satellitaires s’avèrent également fort utiles pour suivre la reconstruction.
Evolution de la couverture végétale dunaire, suivi du trait de côte, mesure des fonds et des herbiers… l’imagerie satellitaire se prête bien à l’étude des zones côtières et marines.
Observer l’évolution d’une crue, déterminer l’emprise des zones inondées ou évaluer les dégâts causés, les apports de l’imagerie satellitaire sont multiples quand il s’agit de gérer ou de prévenir les inondations.
Accompagner les projets d’aménagement du territoire tout en veillant à la consommation raisonnée des espaces, tel est le cœur de métier des Directions Départementales des Territoires (DDT).